Discussion:Idée

De Projet de recherche sur l'auto-exploitation collective
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Je pousse ca ici, je sais pas quoi faire avec ca: Plus récemment, de nouveaux espaces de travail se sont propagés partout dans le monde mais surtout en Amérique du Nord (Lallement, 2015). Espaces high-tech de travail spécialisé où se pratiquent le bidouillage, le hacking ou le making [faire] (Scaillerez et Tremblay, 2017), les hackerspaces constituent une forme de communauté de participation bénévole à la réalisation collaborative de produits en contradiction aux formes dominantes de la marchandise (Grenzfurthner et Schneider, 2009; Anonyme, 2016).

Les makers spaces, c'est 10 dudes (j'ai jamais rencontré pas de femme au vancouver hack space ou au fou lab à montréal) qui louent un local industriel pour mettre en commun des outils. C'est jamais dans une perspective de vivre de leur production. Le 3/4 des maker space font de l'impression 3d pis des bébelles qui ont une utilité pour faire du prototypage, du bricolage, réparer d'autres outils, etc. Une coop, ca a des processus d'affaires, des contrats des client-e-s. Les outils dans un makerspace sont organisé "ah, si t'en a besoin prend le", pas dans une logique d'affaire où si la machine roule pas, on perd de l'argent, comme dans ateliers de machinage. Oui, il y a des rapprochements à faire entre les deux, genre koumbit fournit quelques 100 services différents aux client-e-s, parce qu'on faisait tout dans une logique DIY, mais qui que ce soit de vaguement sensé et de pas obsédé par un contrôle collectif des moyens de production dirait, disons: "vous avez 100 services dont 8 de rentables, qu'est-ce qui se passe ici?".

Bref, aide moi à voir le lien.