Contexte économique

De Projet de recherche sur l'auto-exploitation collective
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Articulation des expériences étudiées aux systèmes d’échange et à la structure de l’emploi dans lesquels elles s’inscrivent (André et Abreu, 2007 ; Cappelli et Keller, 2013). Partie du rapport salarial, la dimension socio-économique sur laquelle nous nous attarderons implique : a) le niveau et le mode d’allocation des revenus et des ressources ; b) le temps, les horaires et la durée de l’activité ; c) la destination et la finalité de la production ; d) les conditions d’existence des travailleuses et travailleurs, leur consommation et leur niveau de vie (Lapointe, 2013 ; D’Amours, 2015). À cet égard, le concept d’auto-exploitation devrait permettre d’identifier des pratiques volontaires de sous-rémunération et de travail gratuit, et leurs justifications (Welford, 1990; Moore et Taylor, 2009; Gibson-Graham et al., 2013; Proulx et al., 2014; Ruggeri, 2015; Ferrer, 2017). Pour ce qui est des relations au système des échanges économiques, nous voulons savoir si les produits de leur travail visent l’autoconsommation, le marché des biens et services ou un marché de niche, monétarisé ou non, à visées solidaires et locale (Dacheux et Goujon, 2011 ; Sousa Santos, 2011b ; Lebrun, 2012 ; Boulianne et Comeau, 2012 a, b ; Calderwood et Davies, 2013).

La concurrence[modifier]

Relativement aux coopératives, la concurrence configure la limite de viabilité de ces alernatives, à moins de repenser la production et la commercialisation de manière collective. (Bodet et de Grenier, 2012 : 108)

Auto-exploitation versus communs[modifier]