The Co-Operative as a Fringe Firm and the Notion of Self-Exploitation
Le but de l’article est de voir comprendre comment les coopératives anglaises se retrouvent dans la situation où elles offrent des salaires moindre, en Angleterre dans les années 1980s. L’étude tente de voir l’effet de deux variables secondaires sur la situation des coopératives : la présence d’un acheteur monopsone et la compétition de larges firmes. Les questions ont été envoyées à 66 ou 69 coopératives sur la présence d’acheteur monopsone ou de grandes firmes en compétition avec elles et eux. Dans le cas des coopératives ayant de grandes firmes dans leur secteur d’activité, les coopératives ayant cette compétition avaient généralement un espoir de croissance plus grand que les autres. L’auteur pointe en direction du fait que les grandes firmes tendent à opérer dans des secteurs plus rentables, et qu’il y a donc un avantage à ces secteurs d’activités. Du côté des acheteurs monopsone, les coopératives de travail dans de tels secteurs d’activité ont des salaires plus élevés comparativement aux autres coops, ce que l’auteur assume être le fait d’une demande solide dans le secteur d’activité. Cette situation se répercute sur les perspectives de croissances des coopératives dans un tel secteur d’activité. L’auteur termine que la rémunération monétaire n’est peut être pas la seule importante pour les personnes du secteur coopératif, il se peut que des facteurs politiques ou sociaux soient en cause.
Quelques critiques : c’est vieux, ça vient pas du Québec et on ne connaît pas les distinctions des coopératives en Angleterre et au Québec, et ça serait difficile de faire un lien direct avec les coopératives en technologies.